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Historique du Parti humanistelancement de la campagne pour l'Europe de Droits de l'Hommepar Rappel de l'historique du PH. Tout cela, et la multitude d'actions entreprises dans les quartiers, a été possible grâce à une force qui nous anime, un moteur qui repose sur des valeurs. Des valeurs, qui, de façon constante, imprègnent le Parti humaniste depuis le départ, des valeurs qui orientent son action, des valeurs qui font du PH un parti d'avant-garde, des valeurs qui bousculent les schémas traditionnels de la politique, des valeurs qui provoquent l'agacement et donc la calomnie de bien des groupes qui ont du mal à accepter ce qui ne leur ressemble pas. Mais nous ne voulons pas ressembler aux partis traditionnels. Nous sommes fiers de ne pas ressembler aux partis traditionnels. Pour commencer, parlons du symbole du Parti humaniste. Certains ont reconnu le ruban du mathématicien allemand Möbius, qui représente l'infini. C'est pour nous une formidable allégorie de cette recherche permanente, infinie, de l'être humain, depuis l'aube des temps : la liberté et la justice… et plus précisément, la liberté personnelle et la justice sociale ; et plus précisément encore, l'action simultanée de transformation de la société vers la justice et d'une démarche de développement vers la liberté personnelle. Il ne peut y avoir de véritable transformation de la société que s'il existe, simultanément, une avance de la conscience humaine. Dès le lancement du PH, nous considérons que l'action politique doit être accompagnée d'une conscience et d'une éthique. L'action politique est faite par des personnes, qui vivent dans ce siècle, fait de conditionnements, de préjugés, de violence - physique, raciale, religieuse -, d'intolérance vis à vis des idées et des styles de vie des autres, de cupidité, de discrimination… Qui peut se vanter de ne pas être affecté, voire contaminé, dans son intériorité, par les valeurs et les modèles arriérés qui circulent de nos jours ? L'action politique ne peut être, telle que nous l'entendons, un business, une carrière, un filon pour avoir des privilèges, une voie pour assouvir sa soif de pouvoirs, ou pire un exutoire pour déverser publiquement ses frustrations personnelles. L'action politique doit être accompagnée d'une éthique qui repose sur cette première règle : " je suis au service des gens ". Cette éthique n'est pas innée, naturelle, propre à une élite ; elle se travaille par l'autocritique, la communication, la reconnaissance de ses erreurs, l'examen de sa conscience, la cohérence entre ce que l'on dit et ce que l'on fait. C'est cela la politique pour nous et nous prétendons que c'est la seule viable pour l'avenir. Cette position dérange ceux qui luttent en disant que ce qui arrive à l'intérieur de l'être humain importe peu, affirmant qu'il suffit de modifier les conditions objectives externes pour que se modifient ensuite les conditions aliénantes qui oppriment l'être humain. Cependant, même les causes les plus louables, avec ce point de vue, finissent par avoir une saveur amère. La cause d'abord…. Mais est-ce que je ne fais pas partie de la cause ? Combien de militants ont baissé les bras parce qu'il n'avaient pas droit au chapitre ? Nous avertissons ces groupes quasi fanatiques : "s'ils n'intègrent pas le dialogue existentiel dans leurs structures, leurs rangs vont se vider et ils se transformeront en groupes ultraviolents". Cette position dérange également ceux qui croient qu'il faut d'abord s'occuper de son égo-épanouissement, pour qu'ultérieurement la société change, comme si le monde était la projection de ce qui se produit à l'intérieur des personnes. Elle dérange ceux qui estiment que la politique est une chose et la recherche personnelle une autre, comme si notre vie était fragmentée. Mais peut-on connaître la liberté quand, dans sa bulle, on reste indifférent face à la misère et à la souffrance qui nous entoure ? Il semblerait que l'influence provienne de la prétendue et récente loi de cause à effet. De nombreux travaux dans plusieurs disciplines démontrent maintenant, que dans le micro comme dans le macro, tout est en interrelation, en interaction, notamment par les travaux du prix Nobel de chimie Ilya Prigogine. Evidemment, si l'on parle de conscience dans la politique, cela va déranger ceux qui font de belles promesses pour apaiser les espoirs, afin de garder leur place. Nous pouvons comprendre qu'ils rencontrent des obstacles pour l'accomplissement de leurs promesses, mais nous soupçonnons, à force d'en avoir entendu, qu'au moment où ils font ces promesses ils savent pertinemment qu'ils ne pourront pas les tenir, autrement dit, ils mentent. L'éthique est absente du domaine politique et c'est pour cela que nous proposons, dès le départ, une loi de responsabilité politique et c'est pour cela aussi que l'on essaie de nous discréditer. Voyons, ce que disent des allumés d'un groupe sectaire, personne n'y portera d'attention… alors : groupe sectaire. Depuis le lancement du PH, nous disons : " Rien au-dessus d'un être humain et aucun être humain au dessus d'un autre être humain ". Cette position est une véritable profession de foi de l'humanisme. Sous la Renaissance, des hommes tel que Pic de la Mirandole ont combattu pour que l'homme ne soit plus rabaissé à une dimension faite de péché et de douleur, dont la seule aspiration est le pardon d'un dieu lointain. L'humanisme prétend que l'homme est un être conscient de sa propre liberté et dignité, capable de transformer le monde et de construire son propre destin. L'être humain est un être historique et social qui déploie une activité intentionnelle incessante projetée vers l'amélioration de son futur. De lui, et de lui seul, dépend la construction du monde social. Quand nous disons " rien au-dessus de l'être humain ", cela veut dire rien ; ni Dieu, ni l'Etat, ni un quelconque pouvoir. Bien sur, certains se disent, comme Reagan à son époque, envoyés de Dieu pour gouverner. Ne mélangeons pas les affaires de culte et les affaires d'Etat. C'est un autre plan. Nous respectons les différentes croyances, y compris l'athéisme, mais nous demandons en contrepartie qu'il n'y ait pas tentative d'imposer un dieu ou un autre, un dogme ou un autre. L'histoire a eu sa part. Nous, nous comptons sur l'être humain et nous avons confiance dans l'être humain. On sait aussi ce que produit la raison d'Etat, on connaît les sources de souffrance qu'à impliqué cette justification. On sait aussi combien le système libéral n'est libéral que pour certains. On sait combien il profite à une minorité alors que la majorité s'essouffle, condamnée à suivre ou à mourir. On ne peut accepter que pour l'Europe de Maastricht, l'économie occupe les 3/4 du traité. La valeur centrale d'une politique humaniste, c' est l'être humain ; et toutes les lois, les mesures, les traités, doivent tenir compte, avant tout, avant le profit pour certains, de la liberté et du bénéfice pour tous, sans exclusive. Pour répondre aux véritables aspirations des populations, le PH propose, depuis sa création, l'appel au référendum et le plébiscite. Après vous avoir présenté quelques faits et les valeurs qui sous-tendent notre action, je passe la parole à Antonietta di Ruzza qui va vous parler de l'Internationale Humaniste et de l'Europe. Merci de votre écoute. Philippe Moal 2- La force humaniste européenne
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